mardi 28 juillet 2009

Jazoon'09 – The International Conference on Java Technology

Jazoon'09 had taken place in Zurich, Switzerland from 22 to 25 June 2009 and will again attract famous Java experts and geeks to Zurich..

There we had disscussed the latest technologies applied in Finance,such as at Credit-Suisse ..

And I was proudly one of the France & Luxembourg JUG Ambassadors on this big annual event !















In this picture I was with a famous Senior
Architect at BNP Paribas Equities & Derivatives
and with the Paris JUG President .















Below the Sun Microsystems Vice-President





















Brahim EL AZZOUZI

dimanche 26 juillet 2009

Allocution de M. le Président de la République

Ce discours a pour thème "Renforcer la contribution de la finance au developpement durable" après la crise ...


Et c'est le but de la Finance Islamique !


Brahim EL AZZOUZI

Elyés Jouini : "La France peut devenir le plus grand centre d'attraction de la finance islamique"

Elyés Jouini : "La France peut devenir le plus grand centre d'attraction de la finance islamique"

Vice-président du conseil

scientifique de l'université

Paris Dauphine



Christine Lagarde, la ministre l'Economie, a récemment annoncé la volonté du gouvernement français de faire de Paris, "une terre d'accueil pour la finance islamique". Elyés Jouini, Vice-président du conseil scientifique de l'université Paris Dauphine et directeur de l'Institut de finance dauphine nous explique les tenants et aboutissants de ce type de financement. Elyès Jouini est le co-auteur, avec Olivier Pastré, du rapport « Enjeux et opportunités du développement de la finance islamique pour la place de Paris » réalisé à la demande de Paris-Europlace.

Capital.fr : Pouvez-vous nous détailler les grands principes de la finance islamique ?

Elyés Jouini : La finance islamique est un système financier qui respecte les règles de conduite de l'islam. Elle refuse l'usure, c'est-à-dire le paiement d'un intérêt. Surtout le risque ne peut pas être complètement cédé à une contrepartie mais doit être être partagé entre les financeurs. Elle prévoit aussi que tout investissement doit être adossé à un actif tangible et qu'il ne doit pas laisser place à une incertitude qui ne serait pas inhérente à cet actif. Elle exclue donc la spéculation. En outre, la finance islamique proscrit certains secteurs non compatibles avec les principes religieux tels que l'alcool, l'élevage porcin ou encore l'armement.

Capital.fr : Quels sont les montants en jeu ?
Elyés Jouini : La finance islamique pèse actuellement environ 700 milliards de dollars dans le monde et connaît une croissance comprise entre 10 et 15% par an.

Si la France profite de ses atouts naturels et met en place les bonnes réformes, elle pourrait devenir, d'ici dix ans, le plus grand centre d'attraction de la finance islamique au monde en attirant jusqu'à 100 milliards d'euros d'investissements.

Capital.fr : Justement quels sont les atouts de la France pour capter cette manne ?
Elyés Jouini : Ils sont multiples. Tout d'abord la France possède 3 fois plus de musulmans que la Grande Bretagne, ce qui est un avantage culturel fort. Ensuite, elle est liée par des partenariats avec les régions où la finance islamique se développe et notamment les pays du Golfe. Enfin, en tant que poids lourd de la zone euro, elle peut permettre aux fonds islamiques de se diversifier.

Capital.fr : Que doit faire la France pour attirer ces fonds ?
Elyés Jouini : Il faut tout d'abord améliorer la communication. En effet, un certain nombre d'investisseurs français connaissent mal ce type de finance et confondent souvent islamique et islamiste voire finance islamique et financement du terrorisme. Par ailleurs, la communication doit se faire en direction des pays où la finance islamique se développe. Ensuite, la France doit modifier ses réglementations afin que les montages financiers de la finance islamique ne soient pas désavantagés. L'Angleterre a fait évoluer sa législation, ce qui lui a permis de devenir le leader européen de la finance islamique. Désormais la France se doit de rattraper son retard.


Brahim EL AZZOUZI

Le IIème Forum Français de la Finance Islamique

Je vous propose de revoir le discours de Christine Lagarde, Ministre de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi, prononcé lors du IIème Forum Français de la Finance Islamique.





Brahim EL AZZOUZI

Extrait du dernier discours de Christine Lagarde, Ministre de l'économie

"Je souhaite également que la place financière française poursuive ses efforts pour développer la finance islamique en France. Je vous annonce que mon ministère publiera d’ici la fin du mois une
nouvelle instruction fiscale pour permettre le développement de nouveaux produits Ijarah et Istinah.
Je vous annonce également que je proposerai à l’automne une réforme législative destinée à créer un nouveau véhicule conçu pour faciliter les émissions de Sukuk."

Brahim EL AZZOUZI

samedi 25 juillet 2009

La Finance Islamique est en plein évolution

Brahim EL AZZOUZI



----------- Islamic Finance Strategic Partners -----------













































































La Finance Islamique est la Solution à la Crise Financière Internationale courante !












Le monde est entrain de vivre les limites et les méfaits du capitalisme à outrance après avoir gouté et vécu pour certain l’impasse du modèle communiste tombé en désuétude. Alors quelle alternative avons-nous réellement en dehors de ces deux modèles économiques ? Ne serait il pas temps de revenir aux fondamentaux des lois économiques ? Mettre la finalité de l’homme au centre de tous les intérêts plutôt que l’argent et le profit sans effort. Aujourd’hui la bulle artificielle insufflé et gonflé par le système capitaliste nous mets devant une réalité qui depuis longtemps a été dénoncé et interdit par le modèle économique Islamique.


Qu’elles sont les critères importants du modèle islamique ?

Les 5 principes du modèle islamique sont simples et naturels :

1. Pas de « riba » (intérêt, usure)

2. Pas de « gharar » (incertitude) ni de « maysir » (spéculation)

3. Pas de « haram » (secteur illicite comme le jeu, l’alcool, la pornographie, le tabac…),

4. Obligation de partage des profits et des pertes

5. L’éthique c'est-à-dire allouer les fonds vers des secteurs socialement responsables.

Ils sont des garanties qui empêchent des crises de type subprime … l’intérêt avec usure étant formellement interdit en Islam nulle doute que cette crise ne peut déstabiliser un système qui refuse de faire travailler l’argent pour l’argent.

Certain pense que le modèle économique respectant les lois de la Charia Islamique ne peut être mise en pratique car ils sont convaincus que les progrès et la folie matérialiste dans lequel ont vie ne peut admettre des principes qui date de plus de 14 siècles. Allah nous impose les taux d’intérêt à Zéro dans tous les échanges financiers pour inciter au partenariat et au partage des risques et des bénéfices. Pour preuve regardé le reflexe immédiat des gestionnaires de la banque centrale européenne et américaine dans cette crise comme dans celle du passé, ils baissent leurs taux d’intérêt. Baisser…, tendre vers le plus prés de zéro pour relancer l’économie, donner plus de confiance à l’épargnant et au marché boursier et faire en sorte que l’on puisse favoriser les crédits auprès des Banques.

Nous avons le privilège dans l’Islam d’être conscient des dangers de jouer avec les limites qu’Allah nous a définis dans le Coran et des conséquences que cela peut engendrer. L’Islam exige des valeurs morals et éthiques dans les mécanismes de l’économie et du développement social.

Un signe du changement de mentalité est l’interpellation du journaliste économiste Beaufils Vincent directeur de la rédaction du très sérieux magazine Challenges qui interpelle de la sorte « … au moment où nous traversons une crise financière qui balaie tous les indices de croissance sur son passage, c'est plutôt le Coran qu'il faut relire que les textes pontificaux. Car si nos banquiers, avides de rentabilité sur fonds propres, avaient respecté un tant soit peu la charia, nous n'en serions pas là. Il ne faut pourtant pas voir la finance islamique comme un exercice de troc moyenâgeux, car les pays du Golfe nous ont montré combien leur mentalité entrepreneuriale savait épouser le XXIe siècle. Simplement, leurs banquiers ne transigent pas sur un principe sacré : l'argent ne doit pas produire de l'argent. La traduction de cet engagement est simple : tout crédit doit avoir en face un actif bien identifié. Interdits, les produits toxiques; oubliés, les ABS et CDO que personne n'est capable de comprendre. Autrement dit, l'argent ne peut être utilisé que pour financer l'économie réelle. Il n'y a donc pas de hasard : si les banques du Golfe sont sorties indemnes de la crise du subprime, c'est qu'elles n'y sont pas entrées. Le respect de ce principe du Coran est également fort utile dans la relation que chacun entretient avec l'argent, qu'il s'agisse des entreprises ou des particuliers : les personnes morales n'ont ainsi pas le droit de s'endetter au-delà de leur capitalisation boursière; quant aux personnes physiques, elles ne peuvent de facto souffrir de surendettement. Voilà des règles qui ne peuvent pas nuire. Et même si elles reposent sur un texte qui date du VIIe siècle… » Source Edito 11/09/08 Le pape ou le Coran http://www.challenges.fr/.

Brahim EL AZZOUZI